Le
réseau social Facebook a fait toute une prise en mettant la main sur
l'une des applications web les plus populaires de la planète: Instagram, le
9 avril dernier.
Ce qui est important de comprendre dans cette transaction est que Facebook désire demeurer un chef de file dans les médias sociaux. Il ne fait pas seulement qu'acheter une application, mais bien tout le réseau social qu'est en soi la filiale Instagram. D'ailleurs, c'est l'une des raisons principales qui incite le président de Facebook, Mark Zuckerberg, à ne pas dissocier la marque Instagram avec celle de Facebook. Il préfère que les deux entités demeurent indépendantes l'une de l'autre, de sorte à permettre à Instagram de poursuivre sa progression afin développer davantage cet outil au cours des prochaines années.
De plus, Instragram est l'une des applications les plus importantes dans sa catégorie à l'échelle mondiale. Donc, à l'aide de cet outil, Facebook aimerait beaucoup élaborer une stratégie qui mènerait le réseau social à se tailler une place de choix en Chine. Ceci dit, le rachat de l'application alimente les spéculations qui avaient déjà été mandatées dans le passé et qui pourraient mener à une éventuelle percée de la grande muraille informatique que le gouvernement chinois a implantée interdisant ainsi la distribution de Facebook au pays. Encore faudra-t-il plusieurs efforts pour en arriver à une entente qui sera profitable pour les deux parties?
Fait à noter, l'annonce de cette opération survient quelques jours après que l’entreprise est récemment lancé une application pour les téléphones équipés du système d’exploitation Android, en plus de son application iPhone d'Apple.
En conclusion, l'ascension de Facebook me rappelle grandement celle de Google au début des années 2000. Bien que Google se spécialise dans les moteurs de recherche et que Facebook concentre ses activités auprès des particuliers en tentant d'obtenir des informations personnelles sur ses abonnés, c'est à se demander si l'avenir des entreprises du web ne passe pas par le partage de données personnelles afin de bien comprendre leurs moeurs de ces derniers. Sommes-nous passés à une ère de commercialisation de notre vie privée? Il serait difficile d'en douter.
@ +
Ce
site de partage de photos est similaire à la plateforme Flickr, sous la
gouverne de Yahoo. Cependant ce qui distingue Instagram des autres
applications de ce genre c'est qu'elle permet aux utilisateurs de retoucher des
photos prises via des téléphones intelligents. À l'aide de filtres de couleurs,
les utilisateurs peuvent laisser aller leur côté créatif en leur donnant des
couleurs uniques, question de varier les visuels émis. Ensuite, les
utilisateurs peuvent les télécharger et les lancer sur les différents réseaux
sociaux auxquels ils sont abonnés.
Ce
qui retient particulièrement l'attention dans cette affaire est la somme que Facebook
a dû déverser pour en faire son acquisition. C'est une entente de près de
1 milliard de dollars en argent américain et en actions qui ont été
dépensés pour y conclure la transaction. Facebook y voit une grande
valeur commerciale pour y investir une somme aussi faramineuse pour une
application gratuite qui compte 30 millions d’utilisateurs inscrits et qui
reçoit plus de 5 millions de photos par jour, et ce, pour une entreprise qui ne
compte qu'une quinzaine d'employés.
Ce qui est important de comprendre dans cette transaction est que Facebook désire demeurer un chef de file dans les médias sociaux. Il ne fait pas seulement qu'acheter une application, mais bien tout le réseau social qu'est en soi la filiale Instagram. D'ailleurs, c'est l'une des raisons principales qui incite le président de Facebook, Mark Zuckerberg, à ne pas dissocier la marque Instagram avec celle de Facebook. Il préfère que les deux entités demeurent indépendantes l'une de l'autre, de sorte à permettre à Instagram de poursuivre sa progression afin développer davantage cet outil au cours des prochaines années.
De plus, Instragram est l'une des applications les plus importantes dans sa catégorie à l'échelle mondiale. Donc, à l'aide de cet outil, Facebook aimerait beaucoup élaborer une stratégie qui mènerait le réseau social à se tailler une place de choix en Chine. Ceci dit, le rachat de l'application alimente les spéculations qui avaient déjà été mandatées dans le passé et qui pourraient mener à une éventuelle percée de la grande muraille informatique que le gouvernement chinois a implantée interdisant ainsi la distribution de Facebook au pays. Encore faudra-t-il plusieurs efforts pour en arriver à une entente qui sera profitable pour les deux parties?
Fait à noter, l'annonce de cette opération survient quelques jours après que l’entreprise est récemment lancé une application pour les téléphones équipés du système d’exploitation Android, en plus de son application iPhone d'Apple.
En conclusion, l'ascension de Facebook me rappelle grandement celle de Google au début des années 2000. Bien que Google se spécialise dans les moteurs de recherche et que Facebook concentre ses activités auprès des particuliers en tentant d'obtenir des informations personnelles sur ses abonnés, c'est à se demander si l'avenir des entreprises du web ne passe pas par le partage de données personnelles afin de bien comprendre leurs moeurs de ces derniers. Sommes-nous passés à une ère de commercialisation de notre vie privée? Il serait difficile d'en douter.
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